mercredi 27 août 2014

[Lifestyle] Lettre à Hoëdic

Ma chère Hoëdic, 


Je dois le dire, tu me manques, tu me manques déjà tellement. Il y a un mois je foulais tes champs de fleurs sauvages, tes plages de sable blanc et la terre de tes chemins. Tu sais Hoëdic, toi et moi on ne se connait pas depuis très longtemps, et pourtant je suis tellement bien avec toi. Je me sens libre et libérée, libérée de toute pression, de toute obligation si ce n'est celle de profiter de la vie. 

Je t'ai découverte il y un an maintenant et déjà je m'imagine ne plus te quitter, chaque détour en Bretagne me ramène vers toi à présent.... J'imagine toutes ces prochaines vacances, l'envie de passer Noël chez toi, et même l'idée un peu folle de ma marier en foulant tes terres. 

Hoëdic on se reverra très vite tu sais, la vie m'amène vers toi. J'aime tout chez toi , j'aime que tu sois sauvage, victime des vents et marées, j'aime que rien de la vie moderne ne t'ai atteinte, ni les voitures, ni le stress, ni la technologie. Chez toi j'oublis mon téléphone et mon ordinateur, et crois moi, j'adore ça. Hoëdic tu me manques. Tu sais, tu es exceptionnelle Hoëdic, tu es un rêve, car parfois, quand je viens te voir, je vois même des dauphins.... Ils sont beaux et sauvages comme toi. Et moi je me sens libre, comme eux. 

Hoëdic, crois moi, je compte déjà les jours qui me ramèneront vers toi, ils sont nombreux je le sais, mais peu importe, l'attente en vaut la peine. Hoëdic, tu m'attends ? Promis? Car moi je n'attends que toi. Tu me manques Hoëdic

Quand le manque est trop fort, je ferme les yeux, cherche le silence et je te vois. Je vois tout ce que j'aime chez toi, tout ce qui fait que tu es unique. J'entends la houle de la mer, je sens le vent, frais et pur, sur mes joues, je sens l'iode qui emplit ton air, je sens le bien être qui m'envahis rien qu'en t'imaginant. Alors imagines tu seulement comme je suis bien avec toi Hoëdic? Tu me manques tu sais.... Tu es mon échappatoire.

Le temps loin de toi est dur et agressif, mais peu importe, ça ira car je sais que tu m'attends. Hoëdic, je compte les jours qui me séparent de toi et je ne t'oublis pas de la ou je suis .... Je reviendrais, on reviendra, à deux, à trois, à 10 ou à 50 qui sais, mais crois moi Hoëdic, je ne t'envahirais pas, je te protégerais tant tu es belle. 

J'ai un peu la gorge serrée en te parlant Hoëdic, car parfois, même en fermant très fort les yeux, j'ai du mal à me souvenir comme je suis bien chez toi. Mais promis, je ne t'oublis pas. 

Attends moi Hoëdic, tu me manques. 










2 commentaires:

  1. ça a l'air très joli comme endroit, j'adorerai voir des dauphins dans leur élément naturel.

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  2. belle déclaration d'amour, les photos donnent envie

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